Voici le 2ème chapitre, traduit par mes soins, merci de ne pas le copier et de respecter mon travail ♥
"« OOOF ! Où suis-je ? » pensa Cupid, touchant précautionneusement le haut de sa tête. Elle était tombée dans un livre d’histoire pour passer son examen de milieu d’année, mais cela ne ressemblait pas du tout à son histoire. Elle s’était attendue à atterrir au sommet du Mont Olympe, mais au lieu de voir des nuages et un ciel bleu vif, elle regardait le plafond d’une confortable maison – probablement dans un petit village quelque part.
Tandis qu’elle regardait alentours, Cupid se sentit excitée. Est-ce que le Directeur Grimm avait soumis un revirement spécial à son devoir d’examen ? Était-elle supposée apporter l’amour dans cette petite ville ? « Ooh ! Ce serait sortaculaire ! » pensa Cupid. Puis elle fut alertée par une délicieuse odeur. Quelque chose de féeriquement gourmand mijotait. En parcourant la petite pièce du regard, elle vit qu’il y avait une casserole bouillonnant sur le poêle et une cheminée ronflante dans le coin. L’odeur de la nourriture lui donnait faim, et l’estomac de Cupid gargouilla. Est-ce qu’un festin est sur le point d’être servi ?
Soudain, il y eut un bruyant coup sur la porte en bois. Une voix étouffée cria quelque chose de l’extérieur. Avant que Cupid ne puisse répondre, une grande femme avec des cheveux blonds clairs et des yeux gris et sévères et ses deux filles à l’air grincheux s’élancèrent à travers la porte.
Les sœurs et Belle-mère observaient Cupid tandis qu’elles attendaient qu’elle leur réponde, mais elle était trop plongée dans ses pensées, à essayer d’imaginer de qui les sœurs pourraient tomber amoureuses, pour répondre.
« Ok, au nom d’Ever After que se passe-t-il ici ? » se demanda Cupid. Avait-elle perdu son arc et ses flèches ? Puis elle eut un bref aperçu de son reflet dans le miroir. Au lieu de sa tenue habituelle, elle portait une robe et un tablier. Et pas particulièrement une jolie robe et un tablier, non plus – la robe était vieille et en haillons, et le tablier avec quelques taches dessus.
« Cette tenue n’est définitivement pas mon style », pensa Cupid.
Puis Cupid répéta tout dans sa tête. Deux méchantes sœurs et leur mère qui lui crient des ordres à propos de corvées… des vêtements en haillons et un tablier… hmm… Pourquoi est-ce que tout cela semblait vaguement familier ?
Cupid essaya de regarder le bon côté. Cela pourrait lui faire de petites vacances sans entremise ! Elle avait été tellement demandée ce semestre à Ever After High. Elle avait déjà utilisé plus de la moitié de son stock de flèches pour l’année ! Maintenant, au lieu de s’inquiéter de pratiquer ses compétences d’archerie, Cupid pourrait simplement balayer quelques sols, s’entraîner sur les recettes de gâteau de l’ange de son père, et peut-être même aller à un bal ! Ce petit méli-mélo n’était pas si mal après tout.
"« OOOF ! Où suis-je ? » pensa Cupid, touchant précautionneusement le haut de sa tête. Elle était tombée dans un livre d’histoire pour passer son examen de milieu d’année, mais cela ne ressemblait pas du tout à son histoire. Elle s’était attendue à atterrir au sommet du Mont Olympe, mais au lieu de voir des nuages et un ciel bleu vif, elle regardait le plafond d’une confortable maison – probablement dans un petit village quelque part.
Tandis qu’elle regardait alentours, Cupid se sentit excitée. Est-ce que le Directeur Grimm avait soumis un revirement spécial à son devoir d’examen ? Était-elle supposée apporter l’amour dans cette petite ville ? « Ooh ! Ce serait sortaculaire ! » pensa Cupid. Puis elle fut alertée par une délicieuse odeur. Quelque chose de féeriquement gourmand mijotait. En parcourant la petite pièce du regard, elle vit qu’il y avait une casserole bouillonnant sur le poêle et une cheminée ronflante dans le coin. L’odeur de la nourriture lui donnait faim, et l’estomac de Cupid gargouilla. Est-ce qu’un festin est sur le point d’être servi ?
Soudain, il y eut un bruyant coup sur la porte en bois. Une voix étouffée cria quelque chose de l’extérieur. Avant que Cupid ne puisse répondre, une grande femme avec des cheveux blonds clairs et des yeux gris et sévères et ses deux filles à l’air grincheux s’élancèrent à travers la porte.
- « Maintenant, je suis ta belle-mère et tu dois me respecter, jeune fille ! Quand je dis le souper sur la table à sept heures, cela veut dire que tu dois avoir mis le souper sur la table à sept heures ! »
- « Non mais regarde-la, Prudence », dit la fille aux cheveux courts à sa sœur. « Elle est juste assise là à ne rien faire, et pendant ce temps-là c’est l’heure du dîner. »
- « Oui, Charlotte. Elle est paresseuse, comme d’habitude », acquiesça Prudence. « Nous sommes toutes affamées ! Où est le dîner ? Quand vas-tu enfin finir tes corvées à temps ? »
Les sœurs et Belle-mère observaient Cupid tandis qu’elles attendaient qu’elle leur réponde, mais elle était trop plongée dans ses pensées, à essayer d’imaginer de qui les sœurs pourraient tomber amoureuses, pour répondre.
- « Nous attendrons notre souper dans la salle à manger », dit finalement leur mère à Cupid. « Et tu finiras toutes tes corvées… ce soir ! »
« Ok, au nom d’Ever After que se passe-t-il ici ? » se demanda Cupid. Avait-elle perdu son arc et ses flèches ? Puis elle eut un bref aperçu de son reflet dans le miroir. Au lieu de sa tenue habituelle, elle portait une robe et un tablier. Et pas particulièrement une jolie robe et un tablier, non plus – la robe était vieille et en haillons, et le tablier avec quelques taches dessus.
« Cette tenue n’est définitivement pas mon style », pensa Cupid.
Puis Cupid répéta tout dans sa tête. Deux méchantes sœurs et leur mère qui lui crient des ordres à propos de corvées… des vêtements en haillons et un tablier… hmm… Pourquoi est-ce que tout cela semblait vaguement familier ?
- « Cendrillon ! » appelèrent les demi-sœurs. « Sers-nous notre dîner immédiatement ! »
Cupid essaya de regarder le bon côté. Cela pourrait lui faire de petites vacances sans entremise ! Elle avait été tellement demandée ce semestre à Ever After High. Elle avait déjà utilisé plus de la moitié de son stock de flèches pour l’année ! Maintenant, au lieu de s’inquiéter de pratiquer ses compétences d’archerie, Cupid pourrait simplement balayer quelques sols, s’entraîner sur les recettes de gâteau de l’ange de son père, et peut-être même aller à un bal ! Ce petit méli-mélo n’était pas si mal après tout.
- « Cendrillon ! » aboya Belle-mère. « Est-ce qu’au moins tu nous écoutes ? Cesse de rêvasser et amène le dîner sur la table… maintenant ! »
- « Je serai là dans un instant ! » répondit Cupid.